L’atelier initialement prévu le samedi 18 mai se tiendra le samedi 25 mai (14h00 à 17h00)
L’atelier prévu le 14 mai sera décalé au mardi 28 mai (19h00 à 20h30)

Restons Zen et gardons la plume à la main !
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L’atelier initialement prévu le samedi 18 mai se tiendra le samedi 25 mai (14h00 à 17h00)
L’atelier prévu le 14 mai sera décalé au mardi 28 mai (19h00 à 20h30)

Restons Zen et gardons la plume à la main !


Les nouveaux ateliers 2024 sont posés, le thème sera : l’écriture fait son cinéma.
2024 verra des ateliers supplémentaires dit « nocturnes » de 19h00 à 20h30 ; ils n’auront pas de thème précis comme les ateliers de 3 heures, mais n’ayez aucune crainte, les exercices d’ateliers seront toujours présents. Cartes, jeux, dès, odeurs, saveurs, bruits, sons, musique etc… seront bien présents.
Et puis cette année, on renouvelle la journée de stage d’écriture, fin novembre.
J’espère que ce programme vous plaira et vous donnera envie de venir écrire en toute liberté.
Certains des ateliers que j’anime sont liés à la musique.
Parfois, ce sont des thèmes musicaux liés aux contraintes d’écritures pour déclencher le processus d’écriture.
Parfois, alors que l’atelier n’est pas musical, les écrivants me demandent si ils peuvent écouter leur propre musique.
Évidemment que oui !
L’écriture et la musique se complètent et s’influencent. J’aime les mêler, pour les ateliers mais aussi quand, à mon tour, j’écris.
Lors de la préparation des ateliers je prends la plume pour tester les exercices que je vais proposer et parfois, je laisse une mélodie s’immiscer entre les lignes de textes.
J’aime assez le résultat. Les mots, tournures de phrases et ambiance qui en ressortent me surprennent souvent !!
D’ailleurs, je vous invite à ce petit jeu d’écriture(s) et de musique(s)
Prenez une de ces musiques :
– 1er film d’Harry Potter,
– ou bien des Blues Brothers,
– ou aussi le Laboratorium Pieśni,
– ou encore le groupe SKALD.
Ce sont des ambiances musicales qui, j’en suis sûre, vous permettront d’écrire des textes bien différents.
A vos plumes et papiers, amusez vous bien !
Scripturalement vôtre
OUI, ce n’est pas un exercice facile, agréable ou tout simplement plaisant. Et non, ce n’est pas obligatoire.
Quoique !
Déjà, il faut savoir si c’est un méchant ou un gentil, le personnage principal ou un personnage secondaire, si il a de bon côté et des mauvais ou les deux.
Bref, de la pure création. Et parfois, on croit avoir cerné notre personnage et au final il ne réagit pas du tout bien dans le scenario où on va le mettre… aurais-je loupé quelque chose ?
Et bien, je dirai que le personnage construit sur la fiche peut très bien en fonction du texte, des évènements que vous aurez écrit, se transformer. Votre fiche n’est pas pour autant fausse. Mais il est alors important que le retournement de situation de votre texte justifie ce changement de personnalité.
Un méchant, par exemple, peut être au début plutôt gentil et, progressivement, par sa manière d’agir, de parler, de penser, puis ses actions, glisser vers sa caractéristique de méchant.
Par exemple, utilisez vos expériences personnelles (oui c’est facile à dire ça), vos rencontres avec des manipulateurs toxiques qui usent de techniques corrosives. Alors, il y a de forte chance que votre écrit devienne intense, palpitant, voire angoissant. Votre méchant arrive.
ça puise dans notre imaginaire personnel de lecteur/d’écrivant/d’humain, dans vos peurs profondes… Votre méchant est là !
Bref, quand on fait sa fiche de personnage, l’idéal c’est d’écrire quelques scènes d’essai en plaçant votre personnage dans différentes situations et ses réactions.
Écrivez comme si le roman prenait forme. Est-ce que votre personnage s’insère naturellement dedans, est-ce qu’il est parfait dans ce décor, dans l’intrigue, avec les autres personnages ?
Et si non, que vous dit-il ? Posez votre texte quelques jours, puis reprenez le, comme si c’était quelqu’un que vous ne connaissez pas qui l’avait écrit… On pari combien que vous trouverez comment résoudre vos interrogations !!
Alors fiche de personnage ou pas. Ma première réponse c’est oui. Oui pour poser les principales caractéristiques. Et Non, car parfois, nos personnages nous échappent, se transforment, vivent leur vie et nous autres, pauvres écrivants, nous subissons leurs diktat.
Un de mes exercices cette année en atelier est d’écrire des descriptions.
Mais que met-on dans une description ? Y a t-il une limite ? Doit-on être précis ou évasif ? Comment les construire ?
Mais surtout, peut-on écrire un texte sans mettre un minimum de description dedans ?
J’ai souvent en atelier des écrivants qui n’aiment pas écrire les descriptions. Ils préfèrent intégrer des dialogues ou des narrations
Pourtant, l’importance des descriptions et le soin qu’on leur apporte peut changer complètement le rythme du texte. Mais comment s’en sortir quand on n’aime pas en écrire…
Prenons déjà les descriptions comme un outil d’écriture comme un autre.
Donc tout comme on peut écrire un roman sans dialogue, on peut écrire un roman sans descriptions.
Comme l’écrit Cécile Duquenne dans sa newsletter du 19 décembre 2022, pas de description dans un roman : « Ça ne le rendra pas moins intéressant ou moins abouti ou moins qualitatif.
Juste… moins descriptif ! »
Du coup, il me semble, que pour que le récit soit agréable pour le lecteur, d’autres aspect du texte comme les personnages, les dialogues, devront être mis en place.
Et là, on ne peut pas y couper, il faut compenser l’absence par la visualisation claire des personnages, et donc Vive la fiche descriptive des personnages !!